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Minsk-2. Faut-il oublier la "Nouvelle Russie"? | 17.04.2015 17 àïð 2015, 19:00


Minsk-2. Faut-il oublier la "Nouvelle Russie"?

Les accords de Minsk-2 signifient-ils que l’Ukraine va conserver son intégrité territoriale?

Voici six mois, de nombreux politologues affirmaient qu’au Sud-est de l’Ukraine allait inévitablement apparaître une nouvelle forme d’État pro-russe : la "Nouvelle Russie". Cette conclusion semblait être confirmée par une série de rassemblements en masse, sur lesquels flottaient les drapeaux russe, depuis Odessa jusqu’à Lougansk. Toutefois, au fur et à mesure qu’on avançait, les commentaires des experts se faisaient moins optimistes à ce sujet. En premier lieu, on constatait une attitude ambiguë de la Russie elle-même à ce propos. Dans le memorandum signé (…) le 12 février à l’issue des négociations de Minsk-2, il est stipulé que la Russie respectera l’intégrité territoriale de l’Ukraine.

Cela signifie-t-il que le "projet Nouvelle Russie" doit être considéré comme terminé?

Valeryi Korovine:

- Peut-être a-t-on lancé Minsk-2 pour se convaincre, et convaincre les autres, qu’il est impossible de mettre un terme à la guerre civile en Ukraine au moyen de négociations. Je doute fortement que Porochenko, en dépit de toute bonne volonté, puisse endosser la moindre obligation. Simplement parce qu’en réalité il ne dirige pas son État, dont on peut d’ailleurs douter de l’existence. D’autant plus qu’il ne contrôle pas les bataillons de volontaires. Dès lors, le non-respect par Kiev des nouveaux accords montrera une fois encore l’inconsistance de l’Ukraine en tant qu’État et impliquera en outre des dégâts sérieux en terme d’image pour Angela Merkel et François Hollande.

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Korovine. Accords de Minsk : sans garantie. Décision de guerre… | 01.04.2015 1 àïð 2015, 21:30


Accords de Minsk : sans garantie. Décision de guerre…

Dès ce jeudi 12 février 2015, en fin de matinée pour nous, Valeryi Korovine a fournit une analyse "à chaud" des négociations qui se terminaient à Minsk. Voici ce texte qui surprend, par le contrepied total qu’il propose

En acceptant des négociations au format "Normandie", la partie russe et les républiques de Donetsk et de Lougansk ont essayé d’en élever le niveau de façon à atteindre un stade renforcé de respect des accords conclus au cours de telles négociations. Voyant ce que sont devenus les précédents accords signés à Minsk, nos représentants ont déployé des efforts visant à garantir la bonne exécution des présents accords, espérant que la présence de représentants occidentaux de premier plan offrirait peut-être cette garantie. Mais de mon point de vue, l’actuel format de "Normandie" contient un élément systémique qui empêche toute partie d’intervenir en tant que garante. C’est la raison pour laquelle cet accord est non signé, bien qu’il fût conclu. Il s’agit simplement du fait qu’aucune partie n’est en mesure de répondre de ce que Petr Porochenko sera en mesure d’exécuter ces accords. Car de facto, l’Ukraine n’existe plus en tant qu’État. Elle existe encore du point de vue nominal, nous y sommes habitués, nous nous y référons, mais en fait, la personne qui siège à Kiev, dès le départ, ne contrôle pas toute la situation, sans parler des militaires, milices et forces de l’ordre, que nous savons très hétérogènes. Il s’agit des bataillons punitifs, immédiatement subordonnés aux oligarques, il s’agit du "secteur droit" du maïdan, des soi-disant SBU, insatisfaits, eux aussi, et manquant de motivation envers les directives de Kiev. Ils ne reçoivent de Kiev ni garantie, ni moyens, ni aide, ni statut social. Pour Porochenko, la situation est incontrôlable ; cela signifie qu’avec la meilleure volonté du monde il ne peut prendre sur lui aucune obligation.

Après treize heures de négociation, on en était encore à rechercher une forme de mécanisme qui garantirait l’observation de n’importe quelle, vraiment n’importe quelle, partie des accords. Le contenu des accords ne sera pas l’essentiel. L’essentiel sera qui va répondre de l’exécution des accords. Personne! Treize heures furent nécessaires pour comprendre que personne ne garantira le respect de l’accord, et si les dirigeants européens le signent, on en arrivera exactement comme sous Yanoukovich, à un maïdan. Ils ressembleront à de pâles idiots incapables d’accomplir rien de ce qui aura été convenu. C’est pourquoi il s’agit d’un problème systémique, et ici, malgré toutes les adjurations des dirigeants européens clamant que le problème ne peut être résolu par la guerre, je suis convaincu du contraire. Ce problème ne peut être résolu que par la guerre, dans le cadre de laquelle l’Ukraine devra être nettoyée des représentants de la junte et des "bataillons de punisseurs" qui massacrent les populations innocentes.

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Poutine. Merkel, Hollande, n’empêchez pas la Russie de prendre ce qui lui revient | 22.03.1015 22 ìàð 2015, 17:15


Poutine. Merkel, Hollande, n’empêchez pas la Russie de prendre ce qui lui revient

Une fois n’est pas coutume, nous publions un texte lié à l’actualité "chaude". Il laisse toutefois entrevoir une tendance structurelle dans la démarche de la Russie en tant que Sujet géopolitique. Valeryi Korovine, très actif dans les médias ces derniers temps a évalué pour le magazine "KM.ru" le potentiel de la rencontre tenue hier, le 06 février 2015 à Moscou entre Vladimir V. Poutine, le Président français et la Chancelière allemande.

J’estime que Merkel et Hollande se rendent auprès de Poutine avec un seul objectif : l’amener à lâcher prise. On essaiera évidemment de faire admettre à notre Président que l’Occident se trouve aujourd’hui au faîte de sa puissance, que l’Occident a créé les règles du jeu qui se joue actuellement, que l’Occident est à la fois joueur, arbitre et juge. Bien sûr, ce message ne sera pas transmis de façon littérale, il sera codé à l’intérieur d’un entretien diplomatique conservant les apparences de la bienséance.

Le problème réside en ce que les dirigeants européens sont à un certain moment allés trop loin, quand précédemment Vladimir Poutine était encore potentiellement prêt à accepter les conditions de l’Occident, de rester en retrait, de se détourner et faire comme s’il ne remarquait pas ce qui se passait dans le Sud-est de l’Ukraine. Mais le Donbass baigne dans le sang. Et ceux qui ont permis cela ont dépassé un point de non-retour. Ainsi, alors qu’une telle rencontre pouvait encore avoir un certain sens en mars de l’an dernier, aujourd’hui, la teneur de la conversation sera toute autre. Le moment est propice, Poutine peut dicter ses conditions, c’est-à-dire "n’empêchez pas la Russie de prendre ce qui lui revient", la Nouvelle Russie [1].

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La Russie et les mutants libéraux | 16.03.2015 16 ìàð 2015, 18:00


La Russie et les mutants libéraux

Cet article de Valerii Korovine, a été publié le 30 janvier 2015 dans le journal Vzgliad. Voici un texte dense, difficile, dur, dans lequel le ciment de l’ironie unit politique et philosophie. Il s’agit aussi d’un cri qu’habitent intelligence, rage et désespoir. Comme souvent dans la meilleure tradition publiciste russe.

Nous vivons dans une société dans laquelle l’idéologie n’est pas unique. Comme ne l’est pas non plus l’idée de l’existence de l’État lui-même. Malheureusement, nous sommes obligés de nous accommoder de cela. Néanmoins, il est nécessaire d’identifier certains principes sous-jacents à cette situation, afin de pouvoir en discerner l’issue. L’absence d’idéologie n’est pas un hasard. La raison en réside, en premier lieu, en ce que nous sous-estimons le rôle des libéraux dans notre société. Or ce rôle est monstrueux et total. Nous n’atteindrons jamais l’idéologie commune à notre grand espace, fondée sur notre histoire millénaire et nos archétypes profonds tant que nous n’aurons pas balayé les libéraux de tous les endroits où ils se trouvent.

N’oublions pas que le libéralisme n’est pas un assemblage de dispositions fortuites. Il est encore moins identique au concept de liberté que ses adeptes crédules avancent en qualité d’argument tout superficiel.

Le libéralisme est un concept dur, développé jusqu’à la perfection à l’époque moderne, disposé à nier intégralement et à éradiquer totalement toute dimension, tout élément immatériel, transcendantal ou métaphysique de l’existence humaine.

Le libéralisme envisage l’être humain du point de vue strictement biologique, en tant que corps, enveloppe mue exclusivement par les instincts animaux, les réflexes, la concupiscence, l’avidité.

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2014, la Russie, le Dollar et la Télévision | 13.03.2015 13 ìàð 2015, 16:00


2014, la Russie, le Dollar et la Télévision

Extrait d’un entretien accordé par Valery Korovine le 09 janvier 2015 au portail d’informations Evrazia et reprise sur la page Vkontakt de l’auteur. Il y exprime avec un cynisme cinglant sa vision du bilan de l’année 2014 et les perspectives 2015 pour la Russie.

Le Russe est capable d’endurer bien des choses, capable de supporter bien des coûts dans sa vie courante, pour autant que cela soit fondé sur une nécessité historique et présente une dimension utile et opportune pour l’État. Alors, tout sacrifice est bon, populaire, possible. A travers des siècles notre peuple a montré qu’il était disposé à préserver et à renforcer au prix de son sacrifice la puissance de notre État.

C’est pourquoi tout cela ne serait rien ; il serait possible de supporter l’augmentation des prix, l’absence des mets délicats dans les magasins pour le nouvel an, l’augmentation du cours du dollar, la majorité de notre population n’en possédant pas, et l’isolation, qui passe inaperçue pour la majorité des habitants du pays, engloutie dans le brouhaha des téléviseurs et de leurs divertissements de nouvel an. Mais quand tout cela se superpose à la défaite historique encourue par la Russie en Novorossie, alors l’effet est démultiplié et les gens deviennent sensibles aux petites choses. Ils se font irritables et nerveux. Ils réagissent à ce qui les aurait laissés indifférents si la Russie avait poursuivi sa démarche en tant que civilisation.

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Navalny, c’est Sourkov, c’est l’entourage de Medvedev, ce sont les libéraux du pouvoir | 09.03.2015 9 ìàð 2015, 16:00


Navalny, c’est Sourkov, c’est l’entourage de Medvedev, ce sont les libéraux du pouvoir

Le présent article écrit par Valeri Korovine, a été publié le 31 décembre 2014 sur le site du Club d’Izborsk, sous le titre "Une hésitation, et les chiens qu’on n’ a pas achevés vous prennent à la gorge". Il met en scène de façon détaillée (ceux qui aiment les noms vont être servis) l’articulation des cinquième et sixième colonnes en Russie.

On a appris mardi matin, le 30 décembre, que le tribunal d’arrondissement de Zamoskvoretch a effectivement reconnu les frères Oleg et Alexei Navalny coupables d’escroquerie. Toutefois, au total, Oleg Navalny est condamné à seulement trois ans et demi de réclusion dans un centre de détention et à une amende de 500,000 roubles, alors qu’Alexei a été condamné à trois ans et demi de conditionnelle, outre les suites d’une action civile à son encontre, visant à récupérer 4,8 millions de roubles.

Et tout cela alors que le ministère public avait requis dix ans ferme pour les frères Navalny. Le quasi acquittement d’Alexei Navalny, dans la situation actuelle, est une chose vraiment très symbolique.

L’emprisonnement de Navalny aurait pu être un geste historique. Poutine aurait du faire ce qu’il craint depuis trente ans; dépasser le point de non-retour au-delà duquel la lutte contre les libéraux et les restes des réseaux américains deviendrait irréversible, ce qui est une condition indispensable à l’existence de l’État.

Navalny est un personnage fabriqué par la machinerie américaine de technologie des révolutions de couleurs, afin de le présenter comme alternative à Poutine. Bien sûr, Navalny ne s’occupera pas lui-même du remplacement de Poutine. Les gens spécialement entraînés à cet effet, de la CIA, du Département d’État s’en occupent, de même que les réseaux américains en Russie. Snowden s’en est occupé jusqu’à ce qu’il comprenne. Mais pour les stratèges américains, Navalny doit devenir la clé de voûte. Navalny, ce n’est pas un blogger isolé, c’est une entreprise, une marque, pour laquelle travaillent des centaines de spécialistes hors de Russie, et des milliers de participants dans les réseaux américains. L’emprisonnement de Navalny pour le délai réel de la peine eût pu être un coup au cœur de la toile tissée par les américains, démantelant un centre lourd, même si ce n’en est qu’un , du réseau américain dans lequel la Russie est empêtrée.

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L’Union Eurasienne. Réintégration de l’espace postsoviétique | 01.03.2015 1 ìàð 2015, 13:00


L’Union Eurasienne. Réintégration de l’espace postsoviétique

L’article ci-dessous est l’aménagement publié le 27 décembre 2014 sur le site du Club d’Izborsk d’un entretien accordé le même jour par Valeri Korovine au site d’information regnum.ru . Il concerne la mise en œuvre de mesures géopolitiques «lourdes», qui trouvent une concrétisation, sans doute provisoire, dans l’existence à partir du 1er janvier 2015 de l’Union Économique Eurasienne.

Au Kremlin, le 23 décembre 2014 s’est tenue une session du Conseil supérieur économique eurasien, consacrée aux aspects pratiques du démarrage le 1er janvier 2015 de l’Union Économique Eurasienne et de ses organes. Le même jour fut signé l’accord scellant l’entrée d’un nouveau membre au sein de l’Union Eurasienne : le Kirghizistan.

La signature sans aucun délais bureaucratique de l’invitation à la Kirghizie à rejoindre l’Union Eurasienne est une réponse asymétrique à laquelle faisait allusion Vladimir Poutine. A ce propos, rien ne revêt une importance plus élevée que la restauration de la qualité de sujet géopolitique de l’espace postsoviétique afin de refouler les agressions venant de l’extérieur et de préserver la souveraineté de chacun des États membres de l’Union Eurasienne, en vertu de ce qu’aujourd’hui, plus aucun État au monde n’est en mesure de défendre seul sa souveraineté face à la menace de la machine américaine de désouverainisation.

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Le vrai nationaliste russe | 25.02.2015 25 ôåâ 2015, 18:00


Le vrai nationaliste russe

Valeri Michaïlovich Korovine est entre autres, membre permanent du Club d’Izborsk, membre élu de la Chambre Civile de la Fédération de Russie , et dirigeant du Centre d’Expertise Géopolitique à Moscou. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont «La troisième guerre mondiale, guerre de réseaux», paru aux Éditions Piter en 2014. Voici un extrait des pages 104, 105 et 106 de ce livre.

(…) Le réseau des skinheads est déjà une arme dans la guerre de réseaux menée contre nous, mettant en danger l’existence de la Grande Russie. Pour ce qui se prétend être aujourd’hui le «nationalisme russe» et se présente comme le calque de la forme extrême des nationalismes occidentaux, la panacée serait la restauration rapide de l’identité russe.

Dans notre cas, identité signifie Orthodoxie, si possible dans ses formes originelles, fondamentales. Mais les «nationalistes russes» dans leur majorité ne savent pas ce qu’est l’Orthodoxie, même s’ils se disent orthodoxes. Le «nationaliste russe» devrait porter la barbe, mais la majorité d’entre eux n’a même pas un cheveu sur la tête.

Le «nationaliste russe» doit connaître sa culture», fut-ce dans ses aspects les plus populaires, lire Dostoïevski, Tolstoï, Pouchkine, comme sélection de base.Pour être un «nationaliste russe», il est tout à fait indispensable de comprendre l’abc de la philosophie russe enseignée dans les œuvres d’Ivan Ilin, Vladimir Soloviev, Vassili Rozanov, Lev Goumiliëv et dans «Possibilité d’une philosophie russe» d’Alexandre Douguine. Sans vouloir faire du «nationaliste russe» un intellectuel, cela ne doit pas l’empêcher de faire connaissance avec l’ethnosociologie, la culture et les traditions des autres peuples qui avec nous vivent dans notre grand espace unique, ni d’étudier même superficiellement l’anthropologie, afin de pouvoir distinguer un arménien d’un juif, ainsi que les fondements de l’eurasisme, la géopolitique, afin de distinguer où se termine la civilisation occidentale et où commence celle de l’Orient. Finalement, à travers ce processus de transformation, il deviendra porteur du «grand nationalisme» russe, impérial, représentant du sujet culturellement et civilisationellement unifié, du peuple russe, qui procède à la création de l’État russe continental, entrant ainsi dans l’histoire.

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Contre monde post-moderne | 03.06.2011 19 èþí 2011, 20:07


Contre monde post-moderne

Dans le cadre de projet "TRADITION" en 15-16 Octobre 2011 a Moscou tiendra la Conférence internationale "Contre monde post-moderne" sur les questions du traditionalisme.

 

Thèmes principaux:

  • Tradition dans un post-modernité;
  • La desécularisation (la renaissance du facteur religieux);
  • Eschatologie (orthodoxie et l'hétérodoxie);
  • Simulacra du neo-spiritualisme post-moderne;
  • Le traditionalisme et de la tradition en Russie, le monde slave, Europe de l'Est;
  • Le règne de la post-quantité;
  • Révision du discours traditionaliste;
  • Tradition et Révolution.
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Tiberio Graziani|Le piège : Afghanistan 1979-2009|15.12.2009 15 äåê 2009, 20:58


Tiberio Graziani

Le piège : Afghanistan 1979-2009


Le président Obama vient de choisir l’escalade militaire en Afghanistan où l’OTAN affronte l’insurrection pashtoune, assimilée par la propagande à l’obscurantisme religieux. Ce faisant Washington s’engage dans un nouveau bourbier. L’analyste italien Tiberio Graziani observe ici que le piège afghan, qui avait été créé par les États-Unis en 1979 pour nuire aux Soviétiques, se referme aujourd’hui sur eux.

1979, l’année de la déstabilisation

Parmi les divers évènements de la politique internationale de l’année 1979, il y en a deux qui sont particulièrement importants à souligner, pour avoir contribué au bouleversement de la géopolitique mondiale basée à l’époque sur la confrontation entre les USA et l’URSS.

Il s’agit de la révolution islamique d’Iran et de l’aventure soviétique en Afghanistan.

Comme on le sait, la prise du pouvoir par l’ayatollah Khomeiny élimina un des piliers fondamentaux sur lesquels reposait l’architecture géopolitique occidentale, édifiée par les États-Unis à partir de la fin de la Seconde Guerre mondiale.

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23 ñåíòÿáðÿ 2009, 00:12
Alexandre Latsa|Entretien avec Christian Bouchet|21.09.2009
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